30 janvier Quito

Mercredi 30  janvier   Quito

Un grand principe : ne pas rester sur sa première impression.

Nous avons bien dormi, sommes reposés, le petit déjeuner est bon, il fait beau.

Notre impression glaciale d’hier est meilleure, nous étions à cent mètres de la zone touristique.

Quartier aux maisons colorées, restaurants bars et petits commerces donnent une bonne ambiance. Nous sommes à sept kilomètres du centre historique, nous irons demain.

Déçus par les premières expériences de cuisine Equatorienne, nous recherchons un restaurant Italien réputé et le trouvons. (Guides sur internet puisque Chronopost refuse toujours de nous livrer le colis) Le repas, le cadre et l’ambiance sont excellents, nous reviendrons. Et copieux, nous repartons avec notre paquet, le repas de ce soir est fait.

Nous flânons dans le quartier, quelques magasins, quelques courses et rentrons.

Visite de l’office du tourisme local pur notre programme des prochains jours

Si la chute du dollar n’est pas bonne pour l’économie Européenne, elle l’est pour les voyageurs comme nous, nous n’oublions pas un passage à la banque.

Notre chambre est un grand studio avec cuisine et coin salon, nous voulons en profiter d’autant que le Wifi est assez rapide.

Maj du blog, Skipe avec quelques « couche-tard » et surtout, pour Nathalie étude détaillée de la suite du voyage, les villes, comment, quelles dates, les hôtels, une véritable agence de voyage.

Quito est entouré de six volcans dont quatre aux portes de la ville, toutes les villes sont en principe sur un fleuve et entourées de collines, ici, nous sommes entourés des volcans de plus de 5 000 mètres !

C’est beaucoup plus beau et spectaculaire mais…..

Extrait d’un bouquin pour se sentir en sécurité.

« À l'ombre du volcan Pichincha
Quito est située sur l'Allée des volcans, une diagonale nord-sud comptant 30 des 55 volcans équatoriens. Quatre volcans surplombent la ville : le Cotopaxi, l'Antizana, le Cayambe et le Pichincha. Guagua Pichincha (du Quechua bébé), le nom donné au cratère actif du volcan, maintient en état d'alerte les Quiténiens depuis son réveil, en 1998. Culminant à une altitude de 4784 mètres, ce volcan de type strato-volcanique crache de façon régulière des gaz et des cendres dans le ciel de Quito. Les dernières grandes éruptions, celles de l'automne 1998 et de l'été 2000, ont laissé sur Quito une couche de cendres causant plus de peur que de mal. La dernière éruption ayant ravagé la ville date de 1660. Cependant, les dégâts pourraient être plus importants. Les gaz et les cendres causent beaucoup de problèmes de santé respiratoire. Les habitations peuvent être détruites ou emportées par les coulées de boue. Les zones agricoles sont souvent détruites par les cendres ou les boues. »

Il faut que je pense à regarder où se situe la zone de protection sismique de l’hôtel. J’y vais dans l’instant.

Je reviens de faire deux courses, il est 21H30, un « Séisme «  en Equateur….l’équipe de Quito vient de perdre « aux tirs aux buts » un match de la « Coupe Libertadore » contre le Brésil…heureusement, nous aurions eu, toute la nuit un concert de klaxons.